FAQ

 

1. Quels sont les formats de fichiers acceptés pour l'impression ?

Nous n'acceptons que des fichiers au format pdf. Leur spécificité est de préserver la mise en forme du fichier (polices d'écriture, images, etc ) et ce, quel que soit le système d'exploitation utilisé pour les visualiser. On peut ainsi s'assurer que les deux parties (clients et imprimeur) visualisent et s'accordent sur la même image.

2. À quoi doit-on veiller en concevant le fichier ?

  • Il faut que le fichier comporte le bleed (voir point 3 du FAQ) nécessaire et les marques de coupe (voir point 4 du FAQ) éventuelles.
  • Le fichier doit être de résolution suffisante. La résolution d'une image c'est le nombre de pixels contenus dans l'image par unité de longueur (cm, pouce...), habituellement on parlera de dpi. Plus l'image contient de pixels par unité de longueur plus elle est nette. Par exemple, si vous souhaitez imprimer un document de 3 pieds par 4 pieds, votre fichier à 100% ne peut pas faire 3 x 4 pouces, mais bien 36 x 48 pouces.

3. Qu'est-ce que le bleed (ou fond perdu) ?

Le bleed ou fond perdu correspond aux extrémités du document. Pour éviter qu'un contour blanc n'apparaisse autour du document imprimé, il est nécessaire d'étendre vos couleurs de fond ou les éléments visuels jusqu'aux extrémités. En son absence, il faudra imprimer le document à 101%, de là l'importance de ne pas mettre d'élément pertinent trop près des bords.

4. Qu'est-ce que les marques ou lignes de coupe ?

Les marques ou lignes de coupes sont les traits indiquant à quel endroit couper le document pour le livrer à la dimension finale. Il est recommandé de placer ces marques avec un espacement de ⅛ (0,125) pouce du format final. Elles ne doivent pas toucher au visuel.

5. Qu'est-ce que le grammage ?

Le grammage, également appelé « force du papier », est une grandeur caractérisant un papier ou un carton, correspondant à sa masse par unité de surface. Plus le grammage est faible, plus le papier est souple.

6. Quels sont les différents types de papier ?

Le papier couché

Le papier couché tire son nom du fait qu'une couche de craie ou de kaolin est appliquée en surface. Son rendu est excellent, il assure une haute définition et un rendu régulier des couleurs : c'est un papier haut de gamme.

Il existe du glacé, du satiné et du mat. Plus la feuille est glacée, plus elle est lustrée, plus elle a été amincie (calandrée). C'est la raison pour laquelle une feuille glacée est toujours plus mince qu'une feuille satinée dans le même poids de base.

Le papier offset

Le papier offset porte le même nom que le procédé d'impression : en effet il a été créé afin de tirer le maximum parti de l'impression par offset. Son avantage est un coût compétitif pour sa version de base.

L'avantage de ce papier est dans son aspect très mat et sa rigidité dès un faible grammage. Il faut toutefois faire attention au rendu des couleurs qui paraîtront plus ternes.

7. Qu'est-ce que du vernis sélectif ?

Le vernis sélectif est un procédé qui permet de mettre en valeur certaines zones d'un document en leur appliquant un vernis. Il s'agit de leur donner un rendu brillant alors que le reste du support reste mat. En impression numérique, nous conseillons d'utiliser le vernis sélectif sur des couleurs très pales ou encore pour un meilleur rendu, utilisez-le sur un fond blanc. La raison à cela est que le résultat est moins prononcé qu'un vernis sous presse offset.

8. Qu'est-ce que l'impression variable ?

L'impression variable permet de faire varier certaines données du document en fonction de la cible à laquelle celui-ci s'adresse. Cela peut être une photo, un nom, une adresse, etc. Par exemple, selon que votre lettre s'adresse à un homme ou à une femme, il est possible de faire varier des paragraphes du document en utilisant un texte qui parle davantage aux uns qu'aux autres. De même, on pourrait utiliser un visuel différent. C'est l'un des avantages de l'impression numérique versus l'impression offset.

9. Peut-on imprimer des pochettes de presse en numérique ?

Oui, bien entendu et cela a comme principal avantage de pouvoir y aller par plus petits lots. Il faut toutefois respecter certains formats : 9 x 11. 375 pouces (avec la possibilité d'ajouter une épine de 1/8 ou de 5/16 de pouces) en format fermé et rabat de 2,5''. Une pochette de presse conventionnelle est habituellement 9 x 12 pouces avec des rabats de 3 pouces.

10. Qu'est-ce qu'une épine ?

L'épine est la tranche d'un livre, provenant de l'anglais spine. L'épaisseur de l'épine dépendra du nombre de pages contenus dans l'ouvrage, ainsi que de l'épaisseur du papier choisi pour l'intérieur. Ces éléments sont donc à prendre en compte lorsque vous concevez le fichier destiné à la couverture d'un livre thermorelié.

11. Qu'entend-on par C1-C4 et C2-C3?

On dénomme communément les couvertures extérieures du document par C1 (pour la couverture avant ou première de couverture) et C4 (pour la couverture arrière ou 4e de couverture). Le C2 est la partie intérieure du couvert se situant au dos du C1. Et le C3 est la partie intérieure du couvert se situant au dos du C4.

12. Quelles sont les types de reliure possibles ?

Le plus généralement, on peut avoir recours à la thermoreliure (aussi appelée reliure allemande), le plié/broché, le brochage au coin, la spirale et le wire-o.

13. Qu'est-ce qu'une thermoreliure (reliure allemande)?

La thermoreliure consiste à utiliser une couverture carton préencollée dans laquelle le papier est inséré avant d'être déposé dans le relieur thermique. La colle va fondre sous l'effet de la chaleur et emprisonner les feuilles dans la couverture. C'est ce procédé qui est généralement utilisé pour relier des volumes d'une certaine épaisseur comme les livres (romans).

14. Qu'est-ce que la micro-perforation ?

Procédé consistant à effectuer des trous de très petites dimensions, de façon à diminuer la résistance du matériel pour permettre une déchirure aisée. Exemple : billets de spectacle, de cinéma ou même des livrets de chèques.

15. Est-il possible d'ajouter des coins arrondis à un document ?

Oui. Cela peut se faire manuellement aux 4 coins (ou parfois à 1 ou 2 des 4 coins) ou éventuellement au moyen d'une matrice de découpe (die cut).

16. Qu'est-ce qu'une matrice de découpe (die cut) ?

Une matrice de découpe est un emporte-pièce utilisé pour découper le support d'impression (papier, carton, autocollants...). Après le processus d'impression, celle-ci permet d'effectuer des découpes particulières telles que des ronds. Le principe est le même qu'en cuisine pour confectionner des biscuits.

Dans le cas de feuilles autocollantes comportant par exemple plusieurs morceaux prédécoupés, on parlera alors d'une découpe par matrice «kiss cut».

17. Quels finis de plastification existe-t-il ?

Il existe deux grands finis de plastification : soit glacé ou mat. Dans le mat, il est aussi possible d'opter pour de l'ultra mat, ce qui donne un aspect cotonneux à la plastification.

  • Plastification glacée 1,7 millième, 3 millième, 5 millième ou 10 millième de po
  • Plastification OPP matte 1,8 millième de po
  • Plastification ultra matte 3 millième de po

La plastification peut se faire avec ou sans bordure (habituellement de 1/8, ¼ ou ½ pouce). Celle-ci permet de faire en sorte que le support restera étanche à l'intérieur et qu'il n'y aura aucune infiltration d'eau. Faire une bordure avec une plastification trop mince (1,7 ou 1,8 millième) n'est toutefois pas recommandé car elle aura tendance à se plier et faire paraître des marques de cassures.

18. Dois-je disposer d'un compte-client aux Copies de la Capitale pour utiliser la boutique en ligne ?

Non, pas obligatoirement. Pour utiliser la boutique en ligne, on vous demande tout d'abord de vous enregistrer afin de créer votre espace client. Ensuite, lorsque vous passerez votre commande, on vous offrira la possibilité de régler immédiatement vos achats en ligne grâce à un mode de paiement sécurisé.

19. Comment ouvrir un compte-client aux Copies de la Capitale ?

Oui. Si vous souhaitez commander l'un des produits de notre boutique en ligne, rendez-vous sur notre page d'accueil ou dans la Zone clients > Accéder à mon compte. Vous pouvez aussi cliquer directement sur notre page d'accueil sur le produit désiré.

Pour les autres produits, demandez au préalable une estimation et complétez ensuite le formulaire de commande en ligne.

20. Puis-je passer commande via Internet ?

Oui. Si vous souhaitez commander l'un des produits de notre boutique en ligne, rendez-vous sur notre page d'accueil ou dans la Zone clients > Accéder à mon compte. Vous pouvez aussi cliquer directement sur notre page d'accueil sur le produit désiré.

Pour les autres produits, demandez au préalable une estimation et complétez ensuite le formulaire de commande en ligne.

21. Sur quels types de support est-il possible d'imprimer aux grands formats ?

Les supports sont nombreux : coroplaste, foamboard, MPVC, Styrène, vinyle, tissu, papier peint, vinyle autocollant (électrostatique, permanant ou amovible).

22. Peut-on changer les bannières dans les structures autoportantes ?

Tout dépend de la structure choisie. La structure Econo n'est pas intercheangeable. Par contre, la Duo Set l'est.

23. Qu'est-ce que l'embossage ?

Technique visant à créer du relief sur le papier comme le braille. Il peut s'agir également d'une forme tel qu'un logo pour des éléments promotionnels. Cette procédure est faite après l'impression si il y a lieu.

24. Qu'est-ce que l'estampage ?

Technique visant apposer une couleur par pression sur un support quelconque. Il peut alors s'agir d'une couleur métallique souvent présente sur des faire-parts de mariage. Cette procédure est faite après l'impression si il y a lieu.

25. La complexité des profils de couleurs CMYK et RGB.

On apprend étant enfant qu'en mélangeant deux couleurs on peut en obtenir une nouvelle comme le bleu et le jaune pour résulter au vert. C'est le principe des couleurs primaires (cyan, magenta et jaune), auxquelles nous ajouterons le noir pour définir différentes teintes de pâles à foncées qu'on appelle en imprimerie CMYK. Ce « 4 couleurs process » dans notre jargon, nous permet d'accéder à une importante palette de couleurs. Ainsi, pour imprimer un document, une couche d'encre de ces quatre couleurs devra être apposée pour y faire apparaître l'image désirée. En appliquant toutes ces couleurs à 100% on obtiendra alors ce qu'on appelle un noir enrichi et en l'absence d'encre, la feuille de papier demeura évidemment blanche. C'est la raison également pour laquelle il n'y a pas d'encre blanche en imprimerie.

Le RGB est aussi un profil de couleurs couramment utilisé, mais il provient de la lumière plutôt que de la pigmentation solide (comme l'encre), ce qui vient inverser certains principes. Les couleurs primaires sont alors le rouge (écarlate), le vert et le bleu (violacé), de là le terme RGB. En mélangeant ces trois couleurs par faisceaux lumineux il est également possible d'avoir une palette de plusieurs colorations. Étonnamment cette fois, il faut mélanger le vert avec le rouge pour avoir un jaune et le mélange à 100% des trois couleurs donnera du blanc. Par exemple le jour, le soleil (la lumière en RGB) est présent et nous voyons les couleurs, mais dès qu'il se couche, la nuit tombe et c'est l'obscurité. C'est le contraire pour le CMYK, tandis qu'en absence d'encre sur une feuille de papier,ce sera blanc.

Certains seront sceptiques qu'il y ait plusieurs couleurs dans une lumière blanche. Référez-vous alors à la fameuse pochette de PINK FLOYD où on y voit la séparation de couleurs par un prisme. Un arc-en-ciel exprime le même phénomène. La présence de gouttelettes d'eau dans l'air implique l'apparition des couleurs à différents niveaux dans le ciel, mais cela demeure de la lumière intangible alors elles ne peuvent s'imprimer.

La controverse souvent mal connue vient de cette divergence. Un écran d'ordinateur est alimenté par un canon de lumière et donc son profil est le RGB. C'est la raison pour laquelle si on s'approche d'un écran, on observera un amalgame de pixels des trois couleurs primaires RGB. C'est un détail qui était plus facile à voir sur les téléviseurs avant l'époque du HD et qu'illustrait bien le logo de Radio-Québec. Cela étant dit, si vous concevez un visuel en RGB pour ensuite l'imprimer en CMYK, il est normal que des différences apparaissent. Provenant d'une lumière, les couleurs à l'écran seront toujours évidemment plus vives. Il est primordial que vos fichiers soient fournis en CMYK pour éviter ces surprises. Si vous ne le faites pas, l'imprimante calculera une équivalence pour convertir les couleurs RGB en CMYK afin d'imprimer le document, mais cela ne règlera pas le problème. Non seulement vous serez déçu du résultat suite à la conversion des couleurs, celui-ci risque d'être différent également d'une imprimante à une autre. Vos dépliants, par exemple, ne risquent donc pas d'avoir les mêmes teintes que votre affiches grand format puisqu'il ne s'agira pas de la même machinerie.

Une autre condition à prendre en considération est l'ajustement de votre écran d'ordinateur. Si vous travaillez sur un portable vous remarquerez que les couleurs changent d'après l'angle où vous vous trouvez. Également, il faut penser à la calibration de l'écran. Lorsque vous vous présentez chez un marchand d'appareils électroniques, remarquez la variance des couleurs d'un téléviseur à un autre... Mieux vaut dès lors demander une épreuve avant la réalisation de votre travail final.

26. Couleurs métallique, pantone et blanc ?

Les pantones sont en fait des couleurs dont la recette est un mélange spécifique que le 4 couleurs process n'est pas toujours capable de rendre. Ils sont souvent utilisés pour des logos, comme par exemple le vert des Caisses Populaires Desjardins. Il faut alors obligatoirement imprimer en offset ce qui engendre par défaut des coûts assez volumineux. En plus d'utiliser les quatre cartouches d'encres CMYK, une cinquième s'ajoutera sur la presse. La charte pantone est présentée comme les échantillons de peintures dans une quincaillerie. S'y joint également les couleurs métalliques comme l'or et l'argent. Le blanc et les vernis vont dans le même sens. Outre l'impression offset, la sérigraphie et l'estampage peuvent être les options pour des résultats similaires.

27. Offset ou numérique ?

Vous avez un dépliant à produire, mais ignorez auprès de quel type d'imprimerie vous devez le faire affaire... La quantité sera souvent déterminante dans votre choix.

L'impression offset est habituellement utilisée pour le grand tirage car les frais de base sont élevés. Elle implique un procédé de développement de films pour chaque page et couleur contenues dans votre projet, afin de produire les plaques d'impression qui seront tout aussi nombreuses. Une fois cette étape franchie, le coût de production est très économique, mais n'en demeure pas moins rentable qu'à partir de 10.000 copies par exemple. Dans ce cas-ci l'encre est liquide et sera absorbée par le support (le papier).

L'impression numérique de son côté n'a pas besoin de ces premiers procédés, mais l'encre est différente car elle est en poudre et doit être mélangée à un type de silicone et chauffée pour adhérer la surface du support. Le coût de cette encre étant plus dispendieuse que celle de l'offset ; c'est la raison pour laquelle nos estimateurs prennent le temps de vérifier la meilleure option pour vous.

28. L'écologie et l'imprimerie

Il arrive parfois que certains clients demandent une encre végétale ou recyclée pour leurs impressions ainsi que l'usage de papier post-consommation ou sans chlore ni acide. L'intention est bonne et sachez que nous vous appuyons dans cette démarche. Cependant, nous sommes actuellement toujours limité par la technologie. En numérique il n'y a pas d'encre végétale, il faut alors absolument choisir un autre procédé d'impression. Il faut toutefois s'attendre à en payer le prix car le coût de cette encre et du papier post-consommation sont plus dispendieux. Il faut également être conscient que malgré l'usage de ces produits, cela demeurera néfaste pour l'environnement car les agents impliqués dans le développement de films et de plaques en offset ne sont pas pour autant sains. Sans l'être à 100%, de nombreux papiers ont des fibres recyclées et pourraient très bien vous convenir sans avoir eu à être blanchi par des procédés chimiques.

29. À quelle résolution dois-je fournir mes fichiers (supplément du point 2) ?

Lorsqu'on parle de la résolution d'une image il s'agit de la qualité à laquelle nous pouvons l'utiliser pour définir son format d'impression. On parle alors du nombre de pixels que nous retrouvons au pouce carré et l'unité est le dpi (dot per inch). En numérique un fichier du bon format demandera normalement un minimum de 150dpi, à moins d'avoir des éléments très fins où le 300 dpi sera nécessaire. Au delà de cette mesure, vous aurez des fichiers trop lourd inutilement. Pour le grand format, puisqu'il faut être à une certaine distance pour voir l'ensemble du visuel, il est possible d'imprimer du 100dpi.

30. Peut-on créer de la résolution ?

Malheureusement non. Lorsqu'une photographie est prise par un appareil numérique il est impossible par la suite d'en changer la qualité. Il est possible de réduire l'image, mais l'agrandir fera en sorte que des pixels s'interprèteront pour combler l'espace déterminé et un effet de mosaïque apparaîtra sur la photo. C'est la raison pour laquelle il est très important de définir dans vos préférences d'appareil numérique que vous désirez de images en haute résolution. L'inconvénient sera que vous aurez alors moins d'espace de sauvegarde et vous pourrez donc moins prendre de photos à la fois. Il suffit néanmoins de vider régulièrement l'appareil de ses photos sur un ordinateur. C'est effectivement un désavantage en voyage, mais en vous procurant une carte SD de plusieurs Go en rechange, vous serez certains d'avoir de beaux souvenirs au retour.

31. Quel est l'avantage du PDF comparativement à Word ?

Le format PDF est un format de fichier qu'on pourrait appeler universel car sur tout ordinateur se trouve par défaut le lecteur Acrobat Reader pour lire ce type de fichier. Le mot «Reader» sous-entend bien qu'on ne peut que lire le fichier en question et non pas le modifier. Cela fait d'ailleurs parti de son avantage car il demeure stable quelque soit l'ordinateur qui l'ouvrira et ainsi on s'assure que la mise en page par exemple sera fixe et identique. Il n'y a pas de logiciel pré-établi pour créer des PDF comme peut l'être Word pour les .doc ou .docx, il s'agit simplement d'un mode de sauvegarde.

Dans les logiciels sophistiqués de graphisme, nous avons souvent à travailler avec un type de fichier qui dépendra de la présence d'autres documents (graphiques, photos, polices de caractères). Il faut alors tout apporter ces fichiers liés pour procéder à l'impression ou simplement son ouverture, à moins d'en avoir sauvegardé une copie en PDF. Attention, Word n'en fait pas exception ! Si vous insérez une image, celle-ci fera normalement partie du document. Mais ce n'est pas le cas d'une police de caractère. Si par exemple vous téléchargez une police spécifique via Internet pour donner un bel aspect à un titre, il faudra apporter le fichier de la police en question si vous décidez d'ouvrir votre fichier sur un autre ordinateur. Autrement, une police par défaut sera désignée pour prendre sa place afin d'afficher le document, et ce sans avertissement.